Mises à jour sur la campagne
C’est notre force ✊
J’ai la responsabilité de me battre pour nous, travailleurs et travailleuses des postes, mais en fin de compte, rien de ce que je peux faire ne se compare à ce que nous pouvons réaliser ensemble. Les dirigeantes et dirigeants du Syndicat ne parviendront jamais à eux à prévenir ou à éteindre les milliers d’incendies que l’employeur allume délibérément autour de nous.
La campagne Bâtir notre pouvoir a nommé des organisatrices et organisateurs dans les différentes régions du pays. Leur rôle est de se rendre à autant de sections locales et d’installations que possible pour y tenir des réunions et promouvoir la campagne.
Pour gagner, nous avons besoin que tout le monde lutte sur le terrain pour de meilleures conditions de travail et la libre négociation collective. Le Syndicat tire sa force de l’unité et de la mobilisation de ses membres vers l’atteinte d’un objectif commun.
Peut-être n’avez-vous pas encore croisé notre équipe d’organisatrices et d’organisateurs, alors je souhaitais vous transmettre les messages de George, Asim et James, qui savent qu’ensemble, nous pouvons et nous allons tenir tête à la direction.
Asim Malik, région de l’Ontario, section locale 566, London
Nous donnons notre temps et notre corps à Postes Canada; nous voulons être traités avec dignité et humanité en retour. Les actions en milieu de travail nous permettent de nous attaquer aux problèmes de tous les jours et nous rappellent notre force commune qui nous permettra de résoudre les problèmes que nous vivons tous.
James Ball, région des Prairies, section locale 730, Edmonton
Nous avons besoin d’actions en milieu de travail parce que Postes Canada viole notre convention. La convention collective est censée protéger nos droits et notre manière de travailler, mais la direction enfreint les règles.
Quand nous déposons un grief, il peut se passer des années avant de recevoir une indemnité, et la cause du problème n’est pas plus résolue. Les actions en milieu de travail attirent l’attention sur les dérives de l’employeur et la force à respecter enfin nos droits.
VOTRE participation nous est nécessaire
Il est de ma responsabilité de défendre nos intérêts, mais au bout du compte, rien de ce que je peux accomplir en tant que 3e vice-président national ne sera comparable à ce que nous pouvons faire collectivement.
Pour gagner, nous devons toutes et tous prendre position dans les lieux de travail pour obtenir de meilleures conditions de travail et des négociations collectives équitables. La force du Syndicat est fonction de l’unité et de la mobilisation des membres en vue d’atteindre un même objectif, chose plus facile à dire qu’à faire.
C’est pourquoi la campagne Bâtir notre pouvoir compte sur des organisatrices et organisateurs partout au pays. Leur rôle consiste à visiter le plus grand nombre possible de sections locales et à tenir des réunions dans le plus grand nombre possible d’installations postales. Ils croient au pouvoir des actions menées dans les lieux de travail et savent qu’ils peuvent donner à chaque section locale les moyens de s’affirmer.
Je tenais à vous communiquer ce que les actions en milieu de travail signifient pour trois organisatrices régionales : Cristina, Ellen et Théa.
Cristina Ionescu, région du Centre, section locale 580 d’Ottawa
Lorsque j’ai été nommée déléguée syndicale, je pensais que je pourrais tout faire et résoudre les problèmes de tout le monde. Je me suis vite rendu compte que j’avais besoin de l’aide et du soutien de mes confrères et consœurs pour gagner, et que nous devions être solidaires dans nos luttes contre la direction.
Nous devons absolument revenir à nos racines et montrer à la direction et à Postes Canada que nous avons plus de 55 000 membres unis qui sont prêts à se battre ensemble pour faire valoir leurs droits.
En menant des actions dans les lieux de travail et en portant un macaron syndical, nous montrons à la direction que nous sommes prêts à nous soutenir mutuellement. Nous pouvons commencer à gagner des batailles et nous préparer à des négociations fructueuses.
Ellen Bowles, région du Pacifique, section locale 823 de Salmon Arm/Revelstoke
Les actions dans les lieux de travail sont importantes parce qu’elles donnent des résultats. Les employeurs ne respecteront pas les droits des travailleuses et travailleurs si ces derniers ne sont pas prêts à se battre. Lorsque nous mobilisons les membres autour de problèmes communs tels que les conditions de travail dangereuses ou la violation de nos droits, nous montrons que nous pouvons compter sur notre pouvoir collectif pour apporter des changements à nos conditions de travail.
Théa Bashore, région du Montréal métropolitain, section locale 350 de Montréal
On parle souvent des grandes luttes du passé, notamment de la grève de 1965 et de la grève pour le congé de maternité en 1981, comme si un tel niveau de mobilisation était unique à cette époque et qu’il était impossible de le faire revivre. C’est faux. Nous pouvons accomplir de grandes choses aujourd’hui, mais cela ne se produira pas si nous ne nous unissons pas.
Nous devons commencer par des actions modestes, qui nous permettront de développer nos capacités de mobilisation. Chaque action nous prépare à surmonter des difficultés accrues et à remporter des victoires encore plus décisives.
Voir au-delà de Postes Canada
Nous, travailleurs et travailleuses des postes, subissons depuis des années les contrecoups de conventions collectives insatisfaisantes et de conditions de travail imposées par des lois de retour au travail. Récemment, la pandémie a alourdi ce fardeau. Nous en avons assez que notre salaire accuse du retard et que notre qualité de travail se détériore.
Notre frustration et notre colère sont justifiées, mais nous pouvons – et nous devons – les mettre au service du changement.
Pour la première fois depuis 1988, grâce à la campagne Bâtir notre pouvoir, le STTP a un plan national pour tenir tête à l’employeur, et ce, directement sur le lieu de travail. Huit organisatrices et organisateurs régionaux sont à vos côtés, sur le terrain, pour vous écouter et vous épauler si vous souhaitez vous joindre à nos efforts pour exiger de meilleures conditions de travail.
Voici ce que disent les organisateurs régionaux Asim et Mary de l’importance que TOUS LES MEMBRES du STTP fassent partie du mouvement.
Asim Malik, région de l’Ontario, section locale 566, London
La mobilisation de nos confrères et consœurs à Postes Canada va bien au-delà du service postal. Nous luttons pour toute la classe ouvrière. Les travailleuses et travailleurs d’Amazon, de Starbucks et de Wal-Mart se lèvent et s’unissent pour améliorer leur sort. Répondez à l’appel vous aussi, et mettez l’épaule à la roue.
En travaillant à Postes Canada, vous avez la chance d’avoir déjà à vos côtés un syndicat qui a l’habitude de remporter de grandes victoires pour les travailleuses et les travailleurs.
L’augmentation du coût de la vie causée par la dérive du capitalisme nous afflige tous, mais en rejoignant la campagne, vous nous aidez à façonner des changements positifs pour améliorer votre vie et celle de vos pairs de la classe ouvrière.
Mary Hylton, région du Toronto métropolitain, section locale 626, Toronto
J’espère qu’entendre parler de la campagne et la voir en action vous donnera la confiance nécessaire pour vous lever contre l’intimidation et les stratagèmes de la direction. Les efforts de la campagne à un endroit peuvent avoir de grandes retombées partout ailleurs et se traduire par un meilleur environnement de travail pour vous et vos confrères et consœurs. Répondez à l’appel!
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Vous aurez des nouvelles des organisatrices et organisateurs des autres régions dans nos prochaines communications. Entre-temps, si vous faites partie d’un comité exécutif de section locale, prenez contact avec l’organisatrice ou l’organisateur de votre région pour planifier des visites dans les lieux de travail et des séances de formation. Si vous êtes membre de la base, visitez notre site Web pour obtenir les dernières nouvelles, parlez de la campagne à votre section locale, et portez-vous volontaire en devenant capitaine en milieu de travail.
Il est temps de nous serrer les coudes et d’exiger de meilleurs lendemains pour nous-mêmes et nos familles.
Bâtir notre pouvoir - Un plan pour remporter la victoire
La force du Syndicat est fonction de l’unité et de la mobilisation des membres en vue d’atteindre un même objectif. La campagne Bâtir notre pouvoir est la première du genre depuis 1988, en ce sens qu’elle repose sur un solide engagement de la part du Syndicat à mettre en œuvre un modèle de mobilisation complet destiné à outiller les membres pour qu’ils s’affirment en milieu de travail.
Il est essentiel d’acquérir la confiance en matière de mobilisation au palier local pour atteindre notre objectif ultime, soit de faire comprendre à Postes Canada et au gouvernement que la négociation collective équitable est la voie de la moindre résistance pour eux.
Un plan qui mène à la victoire
Il s’agit d’une campagne très ambitieuse visant à changer en profondeur la culture du Syndicat. Pour y arriver, il faut d’abord faire un constat clair de la situation. À l’heure actuelle, les membres comptent principalement sur le leadership du Syndicat pour contraindre l’employeur à respecter leurs droits. Peu importe l’énergie que les leaders syndicaux déploient pour représenter les membres, cette démarche du haut vers le bas, qui repose sur la capacité individuelle, ne sera jamais suffisante pour empêcher ni même éteindre les milliers d’incendies que l’employeur allume délibérément autour de nous. Seul le pouvoir collectif peut mener à la victoire.
Tout d’abord, nous devons communiquer aux membres la réalité de la situation et de quelle façon ils peuvent nous aider à changer la donne. Qu’il s’agisse d’une participation minime à un vote de ratification ou à des lignes de piquetage ou encore d’une faible participation généralisée à la vie syndicale dans de nombreuses sections locales, force est de constater que le Syndicat est loin d’être préparé à faire ce qui doit être fait pour remporter la victoire. Il nous faut absolument accepter cet état de fait, puis agir en conséquence. À cette fin, des organisatrices et organisateurs régionaux de la campagne Bâtir notre pouvoir ont été recrutés dans l’ensemble du pays. Leur rôle : se rendre dans le plus grand nombre possible de sections locales et de lieux de travail pour promouvoir la campagne; mettre à jour les listes de coordonnées des membres pour les tenir au courant des activités de la campagne et recruter des membres, appelés capitaines, prêts à donner un coup de main pour accroître notre capacité à lutter.
Une voie à trouver
Dans le cadre des visites aux installations postales, nous nous adressons directement aux membres, là où ils sont. Le recrutement des capitaines permet d’établir un réseau de militantes et militants, où il nous est possible d’échanger, au palier local et régional, sur les difficultés qui se posent, et ainsi coordonner nos actions à grande échelle. De mauvaises réorganisations et un manque d’effectifs se produisent dans toutes les installations postales. Pourquoi ne pas regrouper toutes les sections locales qui connaissent les mêmes problèmes afin de coordonner la formation et d’établir une stratégie de riposte? Chaque visite effectuée et chaque nom ajouté à la liste de contacts sont inscrits sur une carte pour illustrer les progrès réalisés. La carte nous permet de voir les installations visitées et le recrutement obtenu, et où il nous faut retourner pour obtenir de meilleurs résultats.
Une éducation de masse
Comme toute compétence complexe, la mobilisation en milieu de travail doit être constamment nourrie et soutenue pour donner de bons résultats. Sans expérience antérieure, mobiliser les membres est une tâche difficile. Les organisatrices et organisateurs régionaux ont reçu une formation pour aider les sections locales à dispenser un cours d’un jour qui fournira tous les outils nécessaires aux membres prêts à mobiliser leur lieu de travail. Par exemple :
- Cerner les enjeux qui préoccupent un grand nombre de membres et qui leur tiennent à cœur;
- Repérer et recruter des militantes, militants et leaders;
- Former une équipe de collaborateurs et collaboratrices pour tenir des réunions efficaces au travail;
- Faire de nombreux jeux de rôles sur les affrontements avec la direction;
- Formuler des revendications et organiser des moyens de pression qui vont croissant en fonction d’une capacité de mobilisation réaliste.
Plus les membres seront nombreux à être au courant du plan, plus ils seront nombreux à suivre le cours. Et plus les membres seront nombreux à être bien outillés, plus la probabilité sera forte qu’ils fassent valoir leurs droits de façon collective. Nous mesurer à l’employeur aux échelons inférieurs, dès le début, de manière modeste et accessible nous permettra de poser les premières pierres d’assise de la confiance pour mener les luttes nécessaires à l’obtention de nos revendications dans le cadre des négociations ou à faire face à une loi de retour au travail.
Une démarche structurée
Les organisatrices et organisateurs efficaces ne font pas trop de promesses, et ne s’attaquent pas non plus à des dossiers dont les chances de réussite sont minces. Grâce à l’illustration, sur une carte, de nos visites en milieu de travail et du recrutement de capitaines, nous pourrons tester périodiquement notre capacité à coordonner nos actions de lutte. Ces tests, qui nous préparent à une vraie lutte, nous permettront de connaître exactement notre force et jusqu’où nous sommes en mesure d’aller.
Si un bulletin bien écrit ou de beaux discours étaient tout ce qu’il faut aux travailleurs et travailleuses pour avoir gain de cause, le monde ne serait pas aussi injuste, et nos conditions de vie seraient bien meilleures. Pour avoir des chances de réussir, nous devons appliquer de façon méthodique et incessante cette démarche sérieuse de construction de notre capacité à lutter efficacement.
Voici un exemple de test de structure que nous pourrons sans doute faire au cours des prochains mois : faire signer une pétition pour exiger la non-ingérence du gouvernement dans notre prochaine ronde de négociation collective. En clair, une pétition n’apporte habituellement pas de changements marqués. Toutefois, dans le présent contexte, l’objectif d’une pétition consistera à établir combien de membres se seront intéressés à la campagne Bâtir notre pouvoir et seront prêts à donner suite à une demande aussi peu exigeante. Le fait de lancer une pétition nationale comme celle-là et de demander aux organisatrices et organisateurs régionaux, aux sections locales et aux capitaines en milieu de travail de participer à la cueillette de signatures brossera un portrait précis de l’étendue de la solidarité qui se sera développée parmi les membres, et cernera les sections locales, les installations postales et les quarts de travail où il nous faudra redoubler d’efforts.
L’union fait la force
Après des décennies de conventions collectives désavantageuses et de lois de retour au travail, et après deux années cauchemardesques de pandémie, les membres perdent patience devant la détérioration de leurs conditions de travail et de leur situation financière. La campagne vise à canaliser, dans chaque section locale, toutes les frustrations accumulées en milieu de travail pour former un mouvement de changement porté par les 60 000 membres du Syndicat.
S’il ne l’a pas déjà fait, le comité exécutif de chaque section locale doit communiquer avec l’organisatrice ou l’organisateur de sa région afin d’établir un calendrier de ses visites en milieu de travail et de fixer les dates de formation. Voici ce que vous pouvez faire pour participer à la campagne : visitez le site Web Bâtir notre pouvoir et abonnez-vous à l’infolettre, contactez le comité exécutif de votre section locale pour l’informer de la nécessité de participer à la campagne, ou encore, portez-vous volontaire pour devenir capitaine en milieu de travail. La campagne réussira uniquement dans la mesure où les membres y participeront. Plus nous serons nombreux, plus la victoire sera à portée de main.
Solidarité,
Roland Schmidt 3e vice-président national
Lutter pour l’avenir en 2023
Avant l’accalmie qui suit la période de pointe, la campagne Bâtir notre pouvoir faisait des progrès remarquables et nos huit organisatrices et organisateurs régionaux (OR) visitaient les sections locales partout au pays.
Les visites avaient comme but de promouvoir la prise en main des lieux de travail, l’identification de personnes ressources et, surtout, de recruter des capitaines afin de renforcer notre capacité à résister à Postes Canada et au gouvernement. D’octobre à la mi-décembre, les OR ont rendu visite à près de 150 lieux de travail, et plus de 2 450 membres se sont inscrits dans le but d’être tenus au courant de la campagne. Compte tenu du début récent de nos activités et du nombre restreint des membres de l’équipe, qui doivent parcourir un si grand territoire, la campagne connaît un succès enviable.
Les OR méritent une reconnaissance particulière pour avoir relevé le défi, car avant les premières visites des lieux de travail, la plupart ne s’étaient jamais adressés à un public ni organisé des rencontres de ce genre. Souvent, leur présence en tant que représentantes et représentants du palier national, rendant visite aux lieux de travail pour la première fois depuis le retour forcé au travail de 2018, et la pandémie, s’avérait une affaire délicate. En effet, la frustration des membres s’était accumulée, avec raison, et voulait s’exprimer. Les OR ont dû garder la main sur le gouvernail et expliquer que, oui, le Syndicat peut faire mieux, mais seulement si, ensemble, nous sommes prêts et prêtes à mettre l’épaule à la roue afin de donner aux lieux de travail les moyens d’agir. Les membres ont généralement bien reçu leur honnêteté et leur militantisme tourné vers l’avenir, visant à renforcer le STTP.
En janvier, les OR reprendront les visites des lieux de travail, afin de promouvoir l’engagement envers la campagne. Le cours en mobilisation des lieux de travail, conçu spécialement pour la campagne, a été présenté pour la première fois le 7 janvier, à Montréal. D’autres séances suivront sous peu, puisqu’un certain nombre de sections locales ont déjà manifesté leur intérêt. En février, les membres recevront un nouveau numéro de notre magazine national, Perspective, qui abordera plus en profondeur les raisons pour lesquelles la campagne est essentielle et saura revitaliser le Syndicat et nous donner les moyens d’améliorer nos conditions de travail. Vous y rencontrerez aussi les huit militants déterminés à en faire la promotion.
Je l’ai affirmé lors de mon élection à ce poste, et répété au moment de mettre en œuvre la campagne Bâtir notre pouvoir : la force du Syndicat dépend de l’unité et de la mobilisation des membres en vue d’atteindre un même objectif. Notre succès sera toujours proportionnel à la qualité de notre préparation.
À eux seuls, les beaux discours au sujet de l’importance de la lutte ne suffiront pas. Il nous faut aussi recruter, former et outiller des organisateurs et organisatrices, sans quoi nous ne réussirons pas. Afin de créer une force de mobilisation efficace qui saura faire valoir collectivement nos droits et améliorer nos conventions collectives, nous devons être stratégiques dans nos efforts, fédérer tous les paliers du Syndicat envers la campagne, et garder le cap.
La prolongation de la convention collective des FFRS se termine le 31 décembre 2023, et celle de l’unité urbaine, le 31 janvier 2024. Postes Canada compte s’attaquer à notre gagne-pain en prétextant la pandémie et les parts de marché perdues au profit d’Amazon. Si nous voulons tenir bon et réaliser des gains grâce à l’expansion des services postaux, nous devons mobiliser nos forces sans plus attendre. Les sections locales qui n’ont pas encore reçu notre visite dans le cadre de la campagne ou qui veulent organiser un atelier de formation doivent immédiatement communiquer avec leur OR pour prendre rendez-vous. Si vous cherchez une occasion de mettre la main à la pâte, nous avons besoin de capitaines pour coordonner les lieux de travail, et ce, dans l’ensemble des sections locales et régions. Pour communiquer avec nous ou en savoir plus sur la campagne, rendez-vous au https://bnp.sttp.ca/ ou scannez le code QR.
Si nous nous engageons réellement dans ce projet, 2023 sera l’année où nous cesserons de nous asseoir sur les lauriers des travailleuses et travailleurs des postes qui nous ont précédés et qui se sont battus pour changer notre sort au travail, et où nous écrirons notre propre histoire.
Pas de victoire sans lutte.
Solidarité,
Bâtir notre pouvoir : Voici vos organisatrices et organisateurs régionaux
Depuis que le Conseil exécutif national a approuvé à l'unanimité la campagne Bâtir notre pouvoir lors de sa réunion du mois d'août, nous avons travaillé sans relâche pour la mettre en œuvre.
Notre première action a été de sélectionner des responsables régionaux qui établiront une structure de mobilisation interne réactive dans chaque région. Nous tenons à remercier les nombreux membres qui ont présenté leur candidature dans le but de mettre leurs forces et leurs compétences au profit de la campagne. Nous sommes impatients de renforcer notre capacité à combattre l'employeur, ensemble.
Le Conseil exécutif national est fier de vous présenter les huit organisatrices et organisateurs régionaux :
- Région de l'Atlantique : confrère George Nickerson
- Région du Québec : confrère Richard Martin
- Région du Montréal métropolitain : confrère Thomas David-Bashore
- Région du Centre : consœur Cristina Ionescu
- Région du Toronto métropolitain : consœur Mary Hylton
- Région de l'Ontario : confrère Asim Malik
- Région des Prairies : confrère James Ball
- Région du Pacifique : consœur Ellen Bowles
Une fois qu’ils auront terminé leur formation initiale à Ottawa, les organisatrices et organisateurs régionaux travailleront avec le 3e vice-président national, leur bureau régional respectif et les sections locales de leur région. À compter du mois d'octobre, ils se rendront dans les différentes sections locales pour y organiser des réunions en milieu de travail, recruter de nouveaux militants et militantes et organiser des possibilités de formation à l'intention des membres, qui pourront ainsi apprendre comment collectivement faire valoir leurs droits dans leurs lieux de travail.